Le chantier de déploiement de la vidéoprotection est en cours. 12 caméras sont déjà opérationnelles sur les 19.
Hier, le maire, Patricia Granet Brunello, accompagnée de Christophe COUSIN, directeur des services du cabinet du Préfet des Alpes de Haute Provence, de Laurent CHAVANNE, Commissaire Divisionnaire, de Bernard Aymes, adjoint au maire, sont allés superviser ce chantier.
« Afin d'améliorer la sécurité et la tranquillité des Dignois.es, la municipalité a fait le choix de développer la vidéoprotection dans l'espace public pour lutter contre les infractions et les incivilités, et permettre aux forces de l’ordre d’avoir davantage d’éléments lors de leurs enquêtes. Cela vient en complément du travail de proximité effectué quotidiennement par les agents de la police municipale et de la police nationale » a rappelé le maire.
En 2019, la première phase de déploiement prévoit la pose de 19 caméras en centre-ville, qui viendront compléter les caméras déjà implantées à la gare routière et au complexe des Eaux chaudes.
Cette opération s’élève à 249 712 €. Elle est subventionnée par l’État à hauteur de 57 428 €.
La Place Général de Gaulle, la rue Hubac, rue Capitoul, Place du marché, rue des Chapeliers, Place Pied de ville, rue Curaterie, rue Colonel Payan, traverse des Serres et la rue mère de Dieu sont les sites concernés par ce chantier qui prendra fin d’ici la fin juillet.
« Il s'agit de vidéoprotection, pas de vidéosurveillance donc il n’y a pas de CSU. Il n’y a pas en permanence du personnel devant les caméras. Les caméras sont là pour enregistrer les images et permettre le cas échéant, en cas d’incivilités, en cas d’agressions, d’avoir des preuves et de reconnaitre les gens. Le but de ce système n'est pas de surveiller, mais bien de protéger et de veiller à la sécurité » souligne Bernard Aymes, adjoint au maire délégué aux sports, à la prévention de la délinquance et à la tranquillité publique.
