12 horodateurs sur 13 ont été vandalisés et sabotés dans la nuit de vendredi à samedi, rendant l’exploitation impossible. Le montant du préjudice matériel s’élève à 43 000 euros.
La municipalité condamne ces actes de dégradations volontaires et préméditées, qui ont évidemment fait l’objet d’une plainte auprès des services de police. Ces dégradations sont d’autant plus condamnables qu’elles représentent un coût très important pour la commune et pour les contribuables de la commune. La municipalité rappelle donc que toute dégradation de mobiliers urbains et d'équipements publics est un acte répréhensible par la loi et engagera des poursuites pénales contre leurs auteurs.
A ce jour, la date de reprise du fonctionnement des horodateurs n’est pas connue.